Le Groupe Montclair ou l’art de déceler les besoins de la clientèle

album photo

Le projet WR2 du Groupe Montclair comprend 50 unités d’habitation de 1 à 2 chambres. Photos : Groupe Montclair

C’est bien connu, le critère le plus important pour assurer le succès d’un projet immobilier, c’est la localisation. Le Groupe Montclair en fait encore une fois la preuve. Situés sur le territoire de Bois-Franc à Ville Saint-Laurent, les projets du constructeur trouvent rapidement preneurs.

Situé à proximité du Square du Nordet, Lékinox, un projet de 38 unités de condominiums, est vendu à 50 % à peine 3 mois après son lancement. Ces habitations haut de gamme visent une clientèle de nouveaux retraités, des acheteurs expérimentés, qui quittent leur grande maison de banlieue en faveur d’un pied à terre à Montréal. « Ils veulent réduire sans trop sacrifier en espace. Ils privilégient les superficies de plus de 1 000 pieds carrés avec deux chambres à coucher, explique Nicolas Galardo, directeur du marketing du Groupe Montclair. Ils recherchent aussi des finitions de qualité supérieure. »

Le WR2, un projet de condos urbains comptant 50 unités, a lui aussi su plaire à sa clientèle, des jeunes professionnels, principalement des premiers acheteurs. « Plus de 75 % des unités ont été vendues en quelques mois », précise M. Galardo. Le bâtiment, candidat à la certification LEED, est à usage mixte. Au rez-de-chaussée, les copropriétaires ont accès à des commerces de détail alors que les 5 étages supérieurs sont réservés au résidentiel. WR2 a été développé selon les principes de l’approche TOD (Transit-Oriented-Development) qui vise l’utilisation des transports actifs et collectifs.

La nature en ville

Le Groupe Montclair mène d’autres projets sur le territoire de Bois-Franc, dont Terrasses des Équinoxes, qui a été achevé récemment, et le Square Kenneth Patrick, qui comprend des maisons de ville au design contemporain. Tous ces projets bénéficient d’un emplacement privilégié dans une zone qui réunit de grands espaces naturels, des plans d’eau, des sentiers pédestres de même qu’une zone commerciale en plein développement où sont érigés des commerces de proximité dont Première Moisson, Chocolats favoris et un IGA Extra avec ses jardins sur le toit où poussent des légumes vendus sur place.

« Il y a une vie qui est en train de s’installer dans le quartier, affirme M. Galardo. Le secteur est dynamique. Saint-Laurent est un arrondissement qui connaît une croissance démographique. On compte sur la présence de plusieurs gros employeurs, tels que le Groupe Aldo, ABB, Ericsson. Tout cela contribue au succès de nos projets. » Le constructeur lancera la phase 2 du projet Lékinox au début de l’automne. Le nouvel immeuble, qui comptera 53 unités de condominiums de 1 à 3 chambres à coucher, visera toutefois une clientèle différente composée de professionnels en exercice. « Chacun de nos projets s’adresse à une clientèle spécifique, explique M. Galardo. C’est un choix que nous avons fait de ne pas mélanger par exemple de jeunes acheteurs qui ont une vie plus animée avec des retraités qui recherchent davantage la tranquillité. »

Greg et Nicolas Galardo
Greg et Nicolas Galardo, respectivement président et directeur du marketing du Groupe Montclair.

Un partenariat gagnant

Depuis 1994, le Groupe Montclair a construit plus de 4 000 unités sur le territoire de Bois-Franc. Il mène ses projets en partenariat avec le constructeur Sotramont, les deux entreprises ayant créé Développement Bois-Franc. « Nous nous concentrons chacun dans notre secteur, Montclair dans l’immobilier et Sotramont dans le développement commercial, explique M. Galardo. C’est un partenariat gagnant. »

Nicolas Galardo suit les traces de son père, Greg, dans l’entreprise familiale. À ses débuts, le Groupe Montclair se spécialisait dans les grands travaux d´infrastructures. « Il y a quelques années, on a pris le virage vers la construction résidentielle. On ne dépend plus des grands donneurs d’ouvrage. On met en œuvre et on concrétise nos propres projets », explique M. Galardo.

Ceux-ci ne manquent pas. « À Bois-Franc, il y a encore un bon potentiel de développement pour les 8 à 10 prochaines années. Et on reste à l’affût », conclut-il.

Inscrivez-vous à notre infolettre

Pour toujours être informé sur les actualités de la construction