Chaque mois, l’ACQ vous donne rendez-vous pour vous tenir informés des dernières nouvelles de l’industrie, en compagnie de vos animateurs, Jillianne Gignac et Félix Rhéaume.
Dans cet épisode, les animateurs reçoivent Alexandre Pronovost, le désormais célèbre Mike de chez Rona, charpentier-menuisier et acteur.
Tout au long de l’épisode, vous en apprendrez plus sur la façon dont il est devenu le visage de Mike chez RONA, en plus de son parcours pour devenir charpentier-menuisier.
Pour écouter le balado :
En exclusivité sur acqconstruire
Lors de son passage dans notre studio, Alexandre Pronovost a accepté de répondre à des questions supplémentaires de nos animateurs à micros fermés. Nous vous les présentons ici en exclusivité.
Parle-nous un peu plus de ton métier de charpentier-menuisier
Même si j’ai toujours eu une passion pour l’art, j’aime beaucoup communiquer, j’aime m’exprimer à travers l’art, la musique et l’interprétation, je suis un jeune menuisier qui travaille en construction. J’ai des aptitudes là-dedans, je suis un gars manuel.
C’est un métier quand même fantastique. Tu travailles dehors, tu n’es jamais à la même place, tu bouges tout le temps. Quand tu es avec une bonne gang, tu crées des liens forts de fraternité, c’est comme une équipe de hockey. Et c’est le fun parce que tu vois ton projet, tu vois ce que tu fais de tes mains. Ça ne peut pas être plus concret.
Quel est le chantier que tu as le plus aimé ?
Le REM. J’ai eu une année extraordinaire que j’ai vécue avec les gars là-bas. Un gros projet d’ampleur dont je suis fier. C’est la plus grosse « track » en Amérique du Nord. Il y a de quoi être fier. En tout cas, moi, je suis très fier d’avoir participé à ce projet d’envergure.
Est-ce que tu as peur que Mike chez Rona devienne trop gros, que les gens ne t’identifient juste à lui ?
Non. Est-ce que ça m’a traversé l’esprit ? Oui, parce que je me fais poser la question. Mais non, parce que je prends ça un jour à la fois. Je pense qu’en tant qu’artiste, j’ai plus à offrir que juste Mike chez Rona. Et je n’ai pas envie de vivre dans la peur. Si ça arrive – l’avenir nous le dira -, je vais être content d’avoir vécu ce rêve-là. C’est comme ça que je prends ça. J’ai envie de faire plein de projets. Ça mènera où ça va mener. Et si ça finit avec juste ça, je vais avoir profité de la « ride ».
Merci beaucoup !
Ça m’a fait plaisir !
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