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Grand défi Pierre Lavoie : rencontrez les boucleuses ACQ !

Événement phare du Grand défi Pierre Lavoie, La Boucle Vidéotron se tiendra le 14 juin 2025. À nouveau cette année, quelque 5000 boucleurs se joindront aux cyclistes du 1000 KM le temps de pédaler 135 km, sans chronomètre sur un parcours sécurisé. Rencontrez les 3 boucleuses de l’équipe ACQ !

Catherine Jolicoeur, dg de l’ACQ Métropolitaine

1. Brève description de qui tu es

article boucleuses catherine jolicoeur

Je suis directrice générale de l’ACQ Métropolitaine, le bureau régional de l’île de Montréal, où je dirige une équipe dynamique de 10 personnes. Bien que je ne me considère pas comme une grande sportive à la base, j’aime me lancer des défis et sortir de ma zone de confort.

Dans mon rôle, j’accorde une grande importance à l’engagement communautaire et au soutien de l’industrie de la construction à Montréal. C’est un privilège pour moi de pouvoir contribuer au développement et à la mobilisation des entrepreneurs de notre région, tout en renforçant les liens avec nos partenaires et nos membres.

Je suis également mariée et maman de deux enfants : une fille de 11 ans et un garçon de 15 ans, qui me motivent à donner le meilleur de moi-même, autant sur le plan professionnel que personnel.

2. Pourquoi avoir choisi de participer à la Boucle GDPL ?

Pour moi, participer à la Boucle GDPL, c’est l’occasion parfaite de joindre l’utile à l’agréable. C’est un défi que je relève non seulement avec mes collègues, mais aussi avec plusieurs entrepreneurs de notre réseau, ce qui permet de créer des liens forts, au-delà des discussions habituelles sur la construction ou le travail. De plus, mon mari se joint à moi pour cette belle aventure. C’est un moment privilégié à partager en couple, loin du quotidien.

Je vois également cette participation comme une belle opportunité de montrer à mes enfants l’importance de l’engagement physique et communautaire, des valeurs qui me tiennent à cœur et que j’essaie de transmettre au quotidien. Enfin, je suis particulièrement fière de représenter l’ACQ Métropolitaine dans un événement aussi rassembleur, qui met en lumière l’esprit de solidarité et de collaboration.

3. Qu’attends-tu de cet événement ?

Je m’attends à vivre une expérience mémorable, à l’image de l’organisation exceptionnelle de l’événement : points de ravitaillement tous les 30 à 40 km, des dizaines de bénévoles accueillants, des collations, et un soutien constant tout au long du parcours. Je souhaite également que cette édition permette de récolter autant de fonds qu’en 2024, afin de financer les projets de saines habitudes de vie dans trois écoles du Québec, au bénéfice direct des enfants.

Au-delà du parcours, j’espère aussi pouvoir renforcer les liens avec les entrepreneurs et mes collègues dans un cadre différent, tout en partageant un moment sportif et convivial.

4. Comment te prépares-tu ?

Ma préparation se fait de façon assidue, avec 3 à 4 entraînements par semaine, variant de 30 à 90 minutes. Je m’entraîne à l’intérieur avec l’application Zwift, installée sur ma base d’entraînement, ce qui me permet de simuler des parcours réels directement depuis mon salon. Dès que le soleil se montre un peu plus, je privilégie les trajets à vélo pour me rendre au bureau, un aller-retour de 50 km qui inclut le pont Jacques-Cartier – un défi en soi !

Par ailleurs, même si ce n’est pas indispensable, mon mari et moi avons suivi des ateliers de mécanique de vélo pour mieux comprendre les mécanismes et pouvoir gérer les imprévus lors de la Boucle.

Ce défi est aussi l’occasion de découvrir les magnifiques régions autour de la Capitale nationale, où l’édition de cette année se tiendra. Le plaisir de parcourir ces paysages à vélo ajoute un réel bonheur à l’effort physique.

5. Que dirais-tu à ceux et celles qui hésitent à participer ?

Ayant participé à la Boucle en 2024, je peux témoigner de l’expérience exceptionnelle que cela représente : l’ambiance de groupe, la solidarité et la bienveillance entre les cyclistes rendent l’événement unique. L’organisation est impeccable, et on se sent véritablement entouré tout au long du parcours. Participer, c’est aussi faire partie d’une communauté : voir d’autres cyclistes porter le chandail de la Boucle lors de sorties estivales crée un sentiment d’appartenance qui perdure.

Je dirais également qu’avec un peu de préparation – 2 à 3 mois d’entraînement suffisent – il est tout à fait réaliste de le faire, même pour ceux qui ne sont pas très en forme au départ. Cet événement est ouvert à tous les niveaux, qu’on soit un cycliste aguerri ou simplement amateur. Ce n’est pas une compétition, mais bien un défi personnel, où l’objectif est avant tout de se dépasser et de vivre un moment unique.

Finalement, au-delà de la performance, c’est une grande fierté personnelle de franchir la ligne d’arrivée, peu importe le rythme.

Catherine Boivin, cheffe d’équipe au design graphique de l’ACQ

1. Brève description de qui tu es

article boucleuses catherine boivin

Je suis cheffe d’équipe au design graphique à l’ACQ. Entrée à l’ACQ il y a 10 ans à titre de graphiste, j’ai gravi les échelons jusqu’à aujourd’hui. Je supervise une équipe composée de deux graphistes et nous travaillons sur tous les visuels de l’ACQ : campagnes de promotion, images pour les réseaux sociaux, affiches de toutes sortes et le Congrès annuel, entre autres.

2. Pourquoi avoir choisi de participer à la Boucle GDPL ?

J’ai participé au 1000 km du Grand défi Pierre Lavoie il y a 2 ans et j’ai adoré. Connaissant ma passion pour le vélo, Joseph Faye, qui fait partie de l’équipe ACQ de cette année, m’a approchée pour que je participe à la Boucle cette année et j’ai tout de suite accepté. De plus, ma fille aînée, Romane, 17 ans, participera avec moi. Ce sera un plaisir de partager ce moment avec ma fille.

3. Qu’attends-tu de cet événement ?

C’est avoir du plaisir. Ce trajet de 135 km, ce n’est pas une course, mais ça reste une expérience en soi. Et c’est très mobilisateur de partager ce moment avec les membres de l’équipe ACQ et tous les autres passionnés de vélo.

4. Comment te prépares-tu ?

Depuis 3 à 4 mois, je m’entraîne à raison de 4 fois par semaine. Mon conjoint, qui est aussi le coach de vélo de mes filles, m’a fait un programme d’entraînement que je suis à la lettre. Dans les premiers mois, je m’entraînais à l’intérieur, mais avec l’arrivée du beau temps, je vais m’entraîner plus souvent à l’extérieur. Je vise de faire une sortie de 100 km à vélo avant le 14 juin.

5. Que dirais-tu à ceux et celles qui hésitent à participer ?

C’est sûr que ça demande une certaine connaissance du vélo et aussi un goût du défi. Mais, comme je le disais plus tôt, c’est un défi et pas une course. Tout le monde s’entraide, il se développe des liens entre les participants. Et une fois terminé, c’est un bel accomplissement dont on peut être fier.

Luce Bourdages, étudiante et fille d’un membre de l’équipe du 1000 km de l’ACQ

1. Brève description de qui tu es

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Je m’appelle Luce Bourdages, j’ai 22 ans et je viens tout juste de compléter un baccalauréat en travail social à l’Université Laval. Dès l’hiver prochain, je poursuivrai mes études à la maîtrise en sciences de la réadaptation. Originaire de la Gaspésie, c’est dans ce magnifique terrain de jeu que j’ai développé une passion pour les sports de plein air, notamment la randonnée, la course à pied et le vélo de route. J’ai la chance de partager ces passions avec ma famille et mes amies, ce qui me permet de me dépasser au quotidien.

2. Pourquoi avoir choisi de participer à la Boucle GDPL ?

En accompagnant mon père lors de sa participation à l’événement, j’ai été témoin de l’ampleur du GDPL, de l’engagement des participants et du plaisir qu’ils éprouvaient à se dépasser sur leur vélo. C’est à la suite de cette expérience inspirante que mon désir de prendre part à la Boucle Vidéotron est né. Ma participation s’est concrétisée lorsque mon père m’a appris que l’ACQ souhaitait encourager une plus grande présence féminine à l’événement et qu’une place m’était réservée. Ce sera une magnifique occasion de partager ce moment avec mon père, ainsi qu’avec les autres boucleuses.

3. Qu’attends-tu de cet événement ?

Je m’attends à un événement rassembleur, sans pression, offrant l’occasion de rouler en toute sécurité tout en découvrant les magnifiques paysages de la région de la Beauce. À mes yeux, la Boucle Vidéotron représente une belle opportunité de rencontrer d’autres passionnés de sport et de vivre des échanges enrichissants. Cet événement me permettra également de me dépasser en réalisant la plus longue distance à vélo de ma vie.

4. Comment te prépares-tu ?

En préparation pour la Boucle du GDPL, j’ai accumulé de nombreux kilomètres à vélo sur ma base d’entraînement tout au long de l’hiver. Avec l’arrivée du beau temps, j’ai pu débuter les sorties extérieures. En complément de ces entraînements cyclistes, j’ai maintenu un volume de course à pied d’environ 35 kilomètres par semaine durant toute la saison hivernale et le printemps. J’ai également participé au semi-marathon de Lévis, et je prévois prendre part à la Course d’aventure St-Laurent 5h en duo avec mon père, ainsi qu’à la Course de la mémoire, une épreuve en relais d’environ 100 km entre Gaspé et Chandler.

5. Que dirais-tu à ceux et celles qui hésitent à participer ?

À ceux qui hésitent à participer, je dirais que cet événement est une occasion unique de relever un défi personnel, de pédaler pour une bonne cause, de faire de belles rencontres et de découvrir des lieux inusités, le tout dans un peloton encadré et en toute sécurité.

Un élan de générosité au Congrès de l’ACQ

Au cours du Congrès de l’ACQ, qui s’est déroulé les 1er et 2 mai derniers, l’ACQ a ramassé 7 000 $, en invitant les participants à miser sur un cycliste lors de courses virtuelles. Cette somme sera fièrement remise aux trois écoles, situées dans trois régions du Québec, que l’ACQ a choisies d’aider dans le cadre du Grand défi Pierre Lavoie, afin de soutenir leurs projets sportifs pour les élèves.