Des exosquelettes sur les chantiers d’un entrepreneur membre de l'ACQ

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Les exosquelettes, cette nouvelle armature d'assistance physique, fait son entrée sur les chantiers du Groupe Atwill-Morin, un groupe d’entreprises évoluant dans la restauration de bâtiments patrimoniaux qui est aussi membre de l’ACQ.

Le Groupe Atwill-Morin a opté pour l’utilisation de ces dispositifs afin de procurer à ses travailleurs qui doivent soulever à répétition de lourdes charges, un soutien mécanique en allégeant du même coup le poids des charges soulevées. L’exosquelette supporterait environ 70 % de la charge manœuvrée par le travailleur.

L’utilisation de l’exosquelette par les maçons du Groupe Atwill-Morin permettra de les soulager dans les postures et mouvements contraignants et ainsi mieux prévenir les troubles musculosquelettiques. Ils pourront alors travailler de façon plus sécuritaire, en faisant moins d’efforts et en travaillant plus rapidement. C’est un investissement qui aura un impact direct sur la productivité des travailleurs et aussi sur leur performance.

Dans le contexte de pénurie de main-d’œuvre actuel, ce produit innovant servira notamment au Groupe Atwill-Morin de moyen de rétention et même de séduction pour le recrutement de jeunes maçons et maçonnes.

Comment fonctionne un exosquelette

 L’exosquelette est fait de tiges de titane qui descendent le long des jambes, fixées à une ceinture coulissante. La ceinture est rattachée, dans le dos, à une structure articulée ressemblant à une colonne vertébrale. L’ensemble s’apparente à celui d’un squelette que la personne revêt pour l’aider à faire des mouvements.

Déjà très utilisé par plusieurs corps de métiers et différents secteurs, comme les secteurs industriel et médical, l’usage de ce dispositif n’est pas encore très rependu dans le secteur de la construction au Québec.

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